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2 Comments

  1. Aralé

    Kvod HaRav Wattenberg,

    Merci pour vos enseignements enrichissants. Spécialement celui sur Pirké Avot du 24.05.2020.

    Je me permets d’ajouter quelques points.

    J’ai lu, je ne sais plus où, que le Hazon Ich, après la Shoah, aurait dit quelque chose du genre: ” le monde des yéchivot on va le reconstruire, c’est gagné, mais reconstruire les baalé batim d’avant, ce n’est pas encore gagné”.

    La masse des Juifs sont hilonim, ou baalé batim dati. C’est là qu’il faut poter l’effort. Et c’est ce que font le centre alef, d’autres centres, et le Rav Wattenberg. Et c’est là dessus que j’aimerais vous entendre.

    Concernant la question travail/étude en Eretz, ci-joint, ce que j’ai trouvé sur internet concernant le Rabbi de Belz:
    2005 “work” speech
    In 2005 the Belzer Rebbe strongly encouraged his male followers to learn professions (specifically in white-collar work) during his annual Simchat Torah speech. He said,

    Long-term students in yeshivas who are talented and have the economic means are fortunate, but students who year after year see that their studies are not going well, whether because of their skills or their economic situation, must learn a profession that earns a living. I’m not talking about getting rich but earning a living, so that one does not fall into debt. … One can prepare for this in the yeshiva and devote a few hours a week in the evening to studying a profession.[8]

    The Belzer Rebbe’s speech is the latest in a growing trend of encouraging Haredi men who would be more suited to work than study (or whose families are particularly financially needy) to join the workforce (see Torato Omanuto). The Rebbe’s comments were noteworthy for their point that Orthodox Jews do not need to abandon their studies entirely in order to earn a living.

    Il me semble que cette position est semblable à la votre. La situation évolue peut être en Eretz ?

    Kol Tov

     

     

     

     

     

     

  2. Chneor

    Bonjour Rav
    Je me permet juste de rectifier le Birkas Chmouel qui parait (selon mon humble compréhension) un peu plus nuancé.
    Reb Boroukh Ber ne proscrit pas toutes les ‘hokhmot ‘hitzoniotes mais celle qui “détourne la Torah du cœur” du juif, donc celle qui integre et travaille la grille de lecture de l’homme. Cela ne concernerait donc pas les mathématique, la géométrie etc (dans l’absolue, c’est à dire mis à part le problème de bitoul torah). Aussi, on peux dire que RBB ne serait pas tant éloigné de la position du Rav Bloch concernant les yé’hidim qui (selon les exigeantes conditions stipulé par le Roch Yechiva de Telz) peuvent étudier certaine ‘hokhmot normalement interdite, car ces conditions impliquent justement à ce que cet étude ne soit pas fait dans une mise en valeur des ‘hokhmot qui serait un bitoul Torah actif puisque, sur le compte de la place de la Torah, mais dans une optique de mise en valeur de la Torah sur leurs comptes (des ‘hokhmot). Un peu à l’image du Rambam qui dit s’être permit d’étudier la philosophie pour en démontrer la vacuité et ainsi, valoriser la Torah.
    Yeyacher Ko’hakhem

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